Chaque année, 15 000 d’entre vous se font une entorse du ligament croisé antérieur sur les pistes de ski. Le dogme est de vous proposer une intervention chirurgicale pour éviter l’instabilité du genou. Et si, malgré cette ordonnance restrictive, la chirurgie était facultative ! Et si le protocole d’injection plaquettaire sport s’avérait tout aussi efficace et plus adapté à beaucoup d’entre vous ?
Plan de l'article
- Qu’est-ce que le ligament croisé ?
- Entorse du ligament croisé : le traitement habituel est chirurgical
- Entorse du ligament croisé : le nouveau traitement remonte au paléolithique !
- Entorse du ligament croisé : la médecine moderne et le traitement paléolithique vont de pair !
- Pédiculisation
- « Allongé » ou « flou et nuageux » ?
- Le test GnRB
- 3 stratégies de cicatrisation complémentaires
- Contrôle de la mobilité
- Riche en plaquettes
- Poursuite des activités sportives après une entorse du ligament croisé
- Dans la pratique…
- Patience et progressivité
- Après 6 semaines
- Pour les coureurs
- 4 mois après…
- Au bout de 5 mois…
- À 6 mois…
- L’indication idéale pour la récupération après une entorse du ligament croisé
- Le protocole en bref pour une entorse du ligament croisé : attelle PRP sport
- Avantage du protocole : « attelle articulaire PRP sort » par rapport à la chirurgie
Qu’est-ce que le ligament croisé ?
Un ruban est un cordon de fibres qui relie un os d’une articulation à un autre. Cette structure guide et limite le mouvement des articulations. Lorsque celui-ci atteint une amplitude extrême, les ligaments peuvent s’étirer ou se déchirer.
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Le ligament croisé antérieur est situé au milieu du genou, là où il croise son homologue, le ligament croisé postérieur. Sa tâche principale est de contrôler la progression du tibia et en particulier les rotations du genou. Vous comprenez donc que votre ligament croisé antérieur est très susceptible de se déchirer si vos pointes de ski se croisent ou s’écartent fortement !
Entorse du ligament croisé : le traitement habituel est chirurgical
Ligamentoplastie
En chirurgie classique, les restes du ligament croisé déchiqueté sont retirés et remplacés par une partie du tendon qui se trouve à proximité. Ce dernier peut provenir des entretoises avant ou latérales du genou, ce qui justifie diverses techniques chirurgicales. C’est ce qu’on appelle la « ligamentoplastie ».
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Différence entre le ligament et le tendon
Pour mémoire, un tendon est aussi un cordon fibreux, mais cette fois il fait le lien entre un os et un muscle. Il transmet sa force de contraction et mobilise ainsi l’articulation voisine. En fait, il s’agit d’un tissu légèrement différent d’un ruban. Ce dernier est relativement élastique car il permet des mouvements articulaires normaux.
Inversement, le tendon est plus raide, sinon la contraction de son muscle ne ferait que le resserrer sans mobiliser les parties osseuses. Vous pouvez déjà deviner que le remplacer par l’autre n’est pas sans conséquences ! Heureusement, la nature est en plastique.
Transformation du tendon en ligament : ligamentisation
En effet, l’imposition de charges ligamentaires mécaniques sur un tendon le transforme progressivement en bande. Nous parlons de « ligamentisation » !
Problème : Ce processus est lent et semé d’embûches ! Selon l’étude, cela peut prendre entre 7 mois et 3 ans . C’est l’une des raisons du retard dans la reprise du sport. Sans oublier que cette conversion affaiblira le néo-band 3 à 4 mois après l’opération si la nature achève le processus de démolition afin d’être le plus bon possible. pour commencer à reconstruire.
Pas de chance, c’est aussi le moment où l’on se sent bien dans sa peau, mais où le risque est maximum ! Les chirurgiens informent souvent leurs patients d’un rétablissement possible après environ 7 à 8 mois. À l’inverse, une étude a montré que les athlètes ayant subi une intervention chirurgicale étaient plus susceptibles de mentionner un retour au niveau après une bonne année.
Des protocoles plus rapides ont été testés auprès d’athlètes de haut niveau qui bénéficient d’une rééducation intensive. Sans se soucier de la ligamentisation, les médecins ont attendu d’attendre une bonne récupération de la force musculaire et de la coordination. Dans ces conditions, le retour sur le terrain a été réalisé un peu plus de 4 mois avant l’intervention. Malheureusement, ces stratégies ont souvent entraîné une ligamentoplastie, des ballonnements ou des ruptures, et elles ont été abandonnées.
Un affaiblissement du plastique 10 à 20 ans plus tard
Mais ce tendon qui va une cassette n’est pas au bout de leurs inquiétudes. Lorsqu’il est retiré, il est séparé de ses extrémités en direction de l’os et du muscle dans la plupart des techniques. Nous parlons de « greffe gratuite ». Ensuite, les petits vaisseaux qui le traversent sont coupés et il ne reçoit ni oxygène ni nutriments. Heureusement, ce tendon traverse des tunnels osseux pour atteindre l’intérieur du genou, et on peut s’attendre à une revascularisation dans ces zones. Cependant, ce phénomène est lent, partiel et non systématique et explique l’affaiblissement du plastique 10 à 20 ans après sa mise en œuvre !
Entorse du ligament croisé : le nouveau traitement remonte au paléolithique !
Problème de guérison spontanée Crusader
L’indication quasi formelle d’une opération serait justifiée par l’impossibilité de guérir la croix spontanément. En fait, c’est Anatomie tirée d’un volume traditionnel. Ce dernier s’intègre dans le sac qui enveloppe l’articulation, également appelé « capsule ». Il s’agit d’un renforcement naturellement placé dans les secteurs qui supportent le plus les efforts de traction. Une déchirure correspond alors à un trou dans le sac articulaire. Les deux extrémités sont maintenues en contact avec le reste de la capsule. Le saignement causé par la rupture des petits vaisseaux qui traversent le ligament forme une croûte qui relie les deux parties. Cette connexion déclenche une cicatrisation complète de ce ligament dit périphérique.
À l’inverse, le ligament croisé antérieur se trouve au milieu du genou. Il s’agit d’une barrière solitaire qui ne traverse que sa contrepartie, celle située à l’arrière. S’il se déchire, les deux extrémités ne resteront pas en contact. L’extrémité supérieure provient du fémur, tombe et se couche sur le dessus du tibia. Cette explication anatomique a été faite par les premières études chirurgicales sur soutenez ce sujet.
Les premières opérations du genou
Avant l’ère de l’IRM et de la ligamentoplastie, l’opérateur a ouvert le genou et confirmé la déchirure croisée. Dans un processus de recherche scientifique, il a cousu la bande de 50% des patients et laissé l’autre moitié inchangée. Le but du protocole était de comparer les résultats des deux stratégies thérapeutiques.
Quelques semaines plus tard, il a examiné le patient et a constaté que l’articulation présentait toujours des mouvements anormaux. Ni la suture ni l’abstention thérapeutique n’ont permis de retrouver un genou stable grâce à la cicatrisation croisée. La bande cousue, qui avait déjà été mal traitée en raison du traumatisme, a de nouveau été attaquée par des aiguilles et des fils ; elle s’était nécrosée. La bande laissée à son destin n’avait pas réussi à retrouver sa continuité, sa partie inférieure était restée sur le plateau tibial.
Conclusion : Il a donc fallu opérer les patients et remplacer le ligament déchiqueté par un tendon. C’est ainsi qu’est née la ligamentoplastie !
Un protocole contre nature ?
Cependant, ce protocole n’est pas conforme à ce que la nature nous fournit. En effet, lors de son expérience, le chirurgien a nettoyé l’articulation. En particulier, il a évacué le sang de la rupture des vaisseaux qui ont traversé le croisé déchiré ! Vous en avez peut-être souffert, un gonflement apparaît après un traumatisme articulaire sévère. S’il apparaît en quelques minutes, c’est une ecchymose. Ce magma ne tarde pas à s’agglutiner et à coaguler, créant ainsi un lien entre les sections déchirées du ligament.
De nouvelles cellules sont attirées et commencent à former un tissu fibreux. Si ce dernier n’est pas étiré violemment et par quelques La « mécanisation » des trains bénéficiera de la reconstitution d’un nouveau volume. La nature n’est pas avare du processus de guérison !
Et Cro-Magnon ?
Quand Cro-Magnon a mis le pied dans un trou à l’époque paléolithique, il pouvait se faire une vilaine entorse de croisé. Il est peu probable qu’il se soit définitivement évanoui et qu’il ait promis une instabilité articulaire lorsqu’il a tenté d’échapper à un ours brun condamné à manger ! Dans de nombreux cas, il s’est reposé dans la grotte pendant quelques jours puis a participé au stockage et à l’entretien du feu. Il a ensuite rejoint les femmes pour se rendre à la période des vendanges. Dans les semaines qui suivent, il trouve le train d’hommes qui poursuivent les animaux lentement mais longtemps lors de chasses à l’épuisement. Seulement 2 à 3 mois après le début de la dernière poussée et les feintes sont censées bloquer l’animal et lui porter un coup fatal ! Et si nous devions nous éloigner du paléolithique ? Inspiré par le traitement pour suggérer un protocole plus naturel et fonctionnel ?
Entorse du ligament croisé : la médecine moderne et le traitement paléolithique vont de pair !
Pédiculisation
De nombreux médecins du sport ont découvert la guérison spontanée du ligament croisé antérieur chez des athlètes qui refusaient une intervention chirurgicale ou souhaitaient retarder l’opération. Il est vrai qu’il n’est souvent pas tout à fait revenu à son emplacement d’origine. Il a glissé un peu à son insertion osseuse, parfois il s’est fixé à son homologue, la croix postérieure ; on parle alors de « pédiculisation ».
Mais il est souvent bien positionné et parfaitement efficace. Inversement, il arrive que le croisé ne retrouve pas du tout la continuité. L’athlète observe son instabilité pendant plusieurs semaines après un virage qui lui a semblé bénin ! Dans ce contexte, il est probable que l’exercice d’un une activité sportive inadaptée a détruit le croisé dilacéré.
« Allongé » ou « flou et nuageux » ?
Néanmoins, cette découverte parle du concept de ligament solitaire au milieu du genou, dont les extrémités ne peuvent pas se connecter. En IRM, réalisée à distance du traumatisme, le radiologue mentionne souvent de manière étroite « le ligament croisé antérieur se trouve sur le plateau tibial » puis signe le coup fatal pour une réparation naturelle.
Au contraire, sur les images prises précédemment, le crossover est très souvent encore redressé dans la fugue. Pourtant, il semble « flou et trouble ». Il a évidemment souffert, mais on imagine qu’il retrouve une bonne texture non loin de sa position anatomique.
Le test GnRB
Il existe une étude appelée GNRB, qui montre la mesure du déplacement du tibia par rapport au fémur. On suppose que que la croix est rompue lorsque le décalage par rapport au côté opposé est supérieur à 5 mm. Lors de cet essai, la force de traction atteint 250 à 500 Newtons. Si nous testons ainsi la force du croisé restant, nous risquons de terminer sa pause !
Cet avis n’est pas recommandé si vous souhaitez soigner votre bracelet naturellement. Pour éviter que le croisé ne tombe, la médecine moderne vous propose trois stratégies complémentaires. Ils visent à renforcer le pouvoir de guérison de la nature.
3 stratégies de cicatrisation complémentaires
Cela comprend le contrôle de la mobilité, les injections de plaquettes et la poursuite de certaines activités sportives.
Contrôle de la mobilité
Le premier article correspond à la prescription d’une attelle articulaire. Maintenir la flexion et l’extension du genou. Certains sont fabriqués sur mesure et entourent le mollet et la cuisse de bols. D’après mon expérience, ils sont inconfortables à porter et ne suivent pas les fluctuations de la circonférence musculaire associées à la contraction.
La genouillère Softec Genu de Bauerfeind est dotée d’un tissu élastique, de côtes mobiles et d’une fermeture velcro bien placée qui contrôle efficacement la position du tibia sous le fémur. Le genou ne glisse pas et il n’y a pas de traction prématurée sur la croix.
Dans certaines études, des attelles ont été introduites chez des patients qui limitent l’étirement et la flexion entre 20° et 80°. D’après mon expérience, cette restriction n’est pas nécessaire. Au contraire, le ruban bénéficie de ces tensions atraumatiques pour se mécaniser et aligner paisiblement ses fibres dans l’axe de contrainte.
Le vélo reprend également dès le début du protocole et nécessite une flexion du genou à 110°. Seul l’accroupissement sous charge est interdit.
Riche en plaquettes
Le plasma deuxième sujet est appelé PRP pour le plasma riche en plaquettes. Ce sont de petites cellules qui s’agglutinent lorsque des plaies apparaissent. Ils forment un bouchon organique, regorgent de molécules stimulant la croissance et attirent les cellules souches qui peuvent reconstituer tous les tissus.
Bien entendu, ils sont présents lors de l’ecchymose articulaire initiale et constituent l’un des facteurs clés de la guérison spontanée. Cependant, l’ajout de 1, 2, voire 3 seringues distribuées dans les semaines qui suivent la blessure, notamment lorsque le caillot naturel quitte l’articulation, contribue à augmenter significativement les chances de reconstitution ligamentaire.
Pour ce faire, le radiologue ou le chirurgien effectuera un test sanguin pour vous. Il centrifuge le tube obtenu et retrouve la hauteur en fonction des plaquettes. Dans les minutes qui suivent, il injecte à nouveau le concentré plaquettaire et le laisse s’écoulent sur la croix de convalescence.
Pour ce faire, il pique le côté de la rotule. Pour atteindre le milieu du genou, l’aiguille est un peu longue… mais le geste n’est plus douloureux.
Poursuite des activités sportives après une entorse du ligament croisé
Le troisième point de notre protocole thérapeutique correspond à une activité sportive sans risque et peu traumatisante, mais avec une intensité et une spécificité croissantes. Vos objectifs sont variés.
Tout d’abord, elle évite les déconditionnements qui entraînent des récidives.
Ensuite, vous pouvez maintenir la puissance, l’amplitude et la coordination, ce qui vous permet de gagner un temps précieux lorsque vous reprenez vos sports préférés. Ces intérêts fonctionnels sont associés à des effets positifs sur le groupe lui-même. Les contraintes mécaniques progressives inférieures au seuil de résistance s’avèrent avantageuses pour fixer les fibres dans l’axe de contrainte et pour augmenter sa résistance. Le mouvement articulaire est une source d’ouverture vasculaire dans les tissus individuels. Cette vasodilatation favorise l’oxygénation et la nutrition de votre ligament pendant sa guérison. En effet, l’activité physique reprend quelques jours après le traumatisme sous le couvert de l’attelle articulaire.
Dans la pratique…
En pratique, il s’agit de sports d’intérieur tels que le cyclisme, le stepper et les vélos elliptiques. L’entraînement en force est souvent associé à cela : le travail de la presse et du tendon d’Achille sont les bienvenus. Seuls les exercices qui renforcent les quadriceps de manière isolée sont interdits, car ils tirent le tibia vers l’avant et manœuvrent la croix pendant la guérison.
Bien entendu, ces activités peuvent être intégrées à la rééducation sous la supervision d’un bon physiothérapeute. Mais attention, la prudence est de mise, surtout avec les exercices d’équilibre qui incluent également la « proprioception » peut être nommé.
Patience et progressivité
Tout d’abord, il est impératif qu’ils ne soient pas très restrictifs et qu’ils soient fabriqués avec la genouillère. À ce stade, un travail reposant sur une jambe sur un sol stable s’avère clairement suffisant. Le meilleur est vite l’ennemi du bien et l’échec de ces protocoles dans le sport de haut niveau s’explique en partie par un élan de réintégration ! La patience et le progrès sont essentiels… et permettent souvent de gagner du temps par rapport à un traitement chirurgical !
Si le geste de pédalage est autorisé, le vélo de ville est fortement déconseillé car il implique des mouvements non programmés et hors axe, surtout si vous comptez sur la lumière. Il en va de même pour le vélo de montagne…
À l’inverse, il est possible de faire du vélo sur des routes peu fréquentées si vous utilisez les pince-orteils et les pédales automatiques au moins 4 Retirez pendant des mois. Faites avec de simples coquilles, car les torsions des genoux associées au retrait de vos chaussures sont trop agressives pour votre croisé convalescent.
Après 6 semaines
Après six semaines, je fais habituellement un premier suivi IRM. Dans la grande majorité des cas, nous constatons que votre ligament croisé antérieur a retrouvé sa continuité ! Attention, ce n’est pas solide ! Il a besoin de s’épaissir et il faut attendre que ses fibres s’alignent dans l’axe des tensions croissantes que nous allons programmer pour lui ! À cet égard, après un mois et demi, le groupe peut tolérer les secousses de la course et même en bénéficier… toujours avec la genouillère !
Pour les coureurs
Il est recommandé de continuer progressivement, pourquoi ne pas se réchauffer sur le tapis en guise de couverture ou se détendre dans la salle de sport pendant votre travail cardiovasculaire. Après avoir trotté pendant 30 minutes, vous courez dehors. Mais attention, restez sur un chemin normal ou sur un macadam ! Ce n’est pas encore du trail avec des racines, des rochers et des ornières. Les exercices de coordination peuvent se compliquer, mais le soutien en matière de sécurité est toujours nécessaire !
En pratique, il faut le conserver 4 mois au quotidien et 6 mois lorsque l’on fait du sport ! Mais l’inconfort est modéré, vous pouvez plier et redresser le genou blessé comme son homologue. Hormis les jeans très moulants, tous les pantalons sont faciles à enfiler, en particulier ceux des costumes ou des costumes.
4 mois après…
À 4 mois, vous pouvez retirer la genouillère au quotidien et pour un entraînement cardio en salle de sport. Vous le gardez pour les sports de plein air. Équipé de cette façon, vous pouvez vous frayer un chemin lors de vos courses et participer à certaines compétitions de course sur route. Si vous êtes golfeur, vous pouvez renouer avec les approches. Les zones techniques sont les bienvenues au tennis.
Au bout de 5 mois…
Après 5 mois, des sentiers courts, des balançoires de golf et des changements de tennis sont possibles, mais toujours en train.
À 6 mois…
À l’âge de 6 mois, vous allez certainement enlever la genouillère. Vous avez l’endurance et l’équilibre nécessaires pour prolonger les distances sur un terrain accidenté. Vous remettez les pédales automatiques et retrouvez le plaisir du triathlon.
Au tennis et au golf, il est temps de vous inscrire à votre tournoi estival régulier. L’IRM de contrôle et même le GNRB sont normaux et vous calment ! Tu as presque oublié ton genou !
Le football, le rugby ou la main et tous les sports connus sous le nom de « contacts pivots » n’ont pas été mentionnés ! En fait, les tentatives de « sport d’attelle articulée PRP » se sont révélées inappropriées chez ces athlètes de haut niveau. Soit la bande n’a pas guéri, soit le Le genou n’a pas retrouvé sa stabilité.
Au-delà des limitations mécaniques majeures inhérentes à ces disciplines, le non-respect des délais essentiels à la cicatrisation ligamentaire semblait être à l’origine de ces mauvais résultats. Alors que les risques thérapeutiques chez le grand public sont souvent dus à une trop grande timidité dans le maintien de la fonction motrice, nous observons le problème inverse dans les structures de haut niveau. Les physiothérapeutes et les entraîneurs sportifs utilisent le tissu cicatrisant trop tôt et trop vigoureusement.
En particulier, il existe une confusion entre la restauration de la continuité du ligament et la restauration de sa force. Et ces pièges peuvent être révélés mortels pour le ligament croisé antérieur.
L’indication idéale pour la récupération après une entorse du ligament croisé
Mais l’indication idéale est la suivante : Un homme ou une femme de plus de 40 ans, qui souffrent d’une rupture du ligament croisé antérieur pendant le ski et pratiquent le cardio, la musculation, le cyclisme, le triathlon et la course à pied, y compris le trail. La récupération est également très satisfaisante pour les pratiquants de fitness et de cours de danse, ainsi que pour les joueurs de tennis et les golfeurs. Au sein de cette population, le protocole « Splint Injection plaquettaire Sport » a permis la guérison de tous les ligaments croisés et un retour au sport de prédilection. Bien entendu, le retour sur les pistes de ski l’année suivante était l’un des objectifs et n’a pas entraîné de répétitions.
Le protocole en bref pour une entorse du ligament croisé : attelle PRP sport
Indication idéale
-
- Rupture du ligament croisé avant le sport, le ski ou le sport
- Depuis plus de 40 ans, pratiquant une discipline sans point pivot ni contact
Attelle d’articulation
- Dans la vie quotidienne de jour comme de nuit : 4 mois
- En faisant du sport : 6
Mois Injection plaquettaire
- x 1 à 3 : sans urgence à des intervalles de 1 à 3 semaines
- … l’ecchymose initiale agit comme un effet naturel
Maintenance sportive et fonctionnelle
Dès les premiers jours dans la salle à manger
- Semaine 1 : Vélo presse
- Semaine 3 : Elliptique tendon d’Achille
- Semaine 6 : Trotter sur un tapis ou un macadam Mini squat sur une jambe
- Semaine 9 : Courir avec des étirements Mini squat sur une jambe avec flexs/étirements
- Semaine 12 : Course sur sentier forestier… programme gestuel spécifique, amplitude lente et limitée
- Semaine 18 : Course sur terrain varié… geste spécifique programmé, plus rapide et complet
- Semaine 24 : Course tout-terrain variée sans soutien du genou… geste spécifique avec l’adversaire, rapide et beaucoup
Avantage du protocole : « attelle articulaire PRP sort » par rapport à la chirurgie
- Pas de chirurgie, pas d’interruption de travail, pas d’arrêt du sport
- Bande naturelle avec vaisseaux à alimenter et capteurs nerveux pour informer le cerveau de la position du genou Récupération de la
- compétition plus rapidement et reprendre le ski dans la prochaine année